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Les huiles essentielles et leur impact écologique méconnu

Si vous êtes adepte de cosmétique green ou que vous avez déjà fabriqué vos propres produits de beauté, d’hygiène et d’entretien à la maison, vous avez très probablement déjà utilisé des huiles essentielles. Celles-ci sont souvent employées pour leurs propriétés thérapeutiques reconnues mais également pour leur fort pouvoir parfumant. 

Malheureusement, aussi naturelles soient-elles, les huiles essentielles ne sont pas aussi eco-friendly qu’on pourrait l’imaginer… 

L’impact écologique des huiles essentielles

La surexploitation et déforestation causées par les huiles essentielles

Tout d’abord, ces petits élixirs d’origine végétale sont très demandés et provoquent la surexploitation et la déforestation de cultures et plantes sauvages. Un phénomène dangereux pour la biodiversité de la flore qui provoque un risque de disparition progressive pour certaines espèces. 

Comment est-ce possible ? Cela s’explique par le fait que les huiles essentielles sont obtenues grâce à la distillation des composés aromatiques des plantes. Ce processus demande souvent des quantités phénoménales de matières premières. 

Et effet, par exemple, pour produire 1L d’huile essentielle, il faudra 2000 oranges ou 3 à 5 tonnes de pétales de roses! Nous vous laissons imaginer… 

Toxicité des huiles essentielles

Ensuite, il ne faut pas négliger non plus le fait que la concentration de ces essences végétales est parfois tellement importante que cet aspect les rend toxiques et néfastes pour l’environnement et la biodiversité mais aussi pour les organismes vivants, dont l’humain. 

Étant de plus en plus utilisées dans les cosmétiques et les produits d’entretien, les huiles essentielles sont davantage présentes dans les eaux usées qui se retrouvent dans la nature. Celles-ci impactent alors parfois dangereusement les écosystèmes locaux. 

C’est d’ailleurs également pour leur risque de toxicité que les huiles essentielles sont fortement déconseillées pour les femmes enceintes et les bébés notamment. C’est particulièrement le cas pour les huiles essentielles d’agrumes : citron, pamplemousse, orange douce, mandarine, bergamote… L’HE d’eucalyptus est également une de celles qu’il faut utiliser avec parcimonie et en connaissance car elle pourrait provoquer des convulsions. 

Enfin, certaines huiles essentielles sont également suspectées d’agir comme des perturbateurs endocriniens et pourraient donc causer des déséquilibres hormonaux. 

La solution ? Une utilisation raisonnée et en conscience

Il n’est bien entendu pas nécessaire de devenir parano et de diaboliser les huiles essentielles pour autant. Celles-ci restent une super solution naturelle pour soigner de nombreux maux. Cependant, pour toutes les raisons mentionnées ci-dessus, il est important de les exploiter avec parcimonie et en connaissance de cause. 

On favorise leur utilisation à des fins thérapeutiques et on se fait conseiller par une personne professionnelle pour une utilisation optimale… et en toute sécurité. On évite également si possible de les ajouter à nos produits cosmétiques et de nettoyage juste pour leur parfum. 

Finalement, lors de l’achat d’huiles essentielles on favorise des producteurs locaux et labellisés pour garantir une production respectueuse de l’environnement.  

Envie d’adopter les huiles essentielles pour leurs vertus ?

Jayu by Laura propose ses conseils en aromathérapie sous forme d’atelier en mettant l’accent sur le pouvoir psychologique, émotionnel et énergétique des huiles essentielles. Elle offre également la création de synergies personnalisées, un service qui vous permet de comprendre et gérer au mieux vos émotions et utiliser à bon escient les huiles essentielles. 

Lire aussi…

➡️ Les 3 huiles essentielles à avoir chez soi 

 

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Nos conseils pour rester au frais sans air conditionné cet été 

Les vagues de chaleur s’enchaînent cette année (au grand dam de la terre). Il est plus que tentant d’investir dans une solution radicale : la climatisation, aussi appelée “airco” pour “air conditionné » ! Mais cette dernière n’est malheureusement pas la solution adéquate à long terme. Que ce soit en termes de production ou d’utilisation, les appareils climatisants consomment beaucoup d’énergie et rejettent l’air chaud des intérieurs vers l’extérieur … réchauffant encore plus la planète ! On vous livre dans cet article nos conseils pour rester au frais sans air conditionné cet été. 

Fermer le jour, ouvrir la nuit

Le conseil de base pour survivre à la chaleur est de s’isoler durant la journée. Gardez les volets et/ou tentures fermées un maximum pour empêcher les rayons du soleil de rentrer dans votre intérieur. La nuit, lorsque les températures redescendent, profitez-en pour ouvrir les fenêtres et créer des courants d’air dans la maison. 

Se mettre au vert

Les espaces verts sont réputés pour être frais. En effet, les  plantes, par la photosynthèse, créent de l’humidité. Les plus grandes plantes et arbres procurent également de l’ombre. Si vous en avez l’occasion, plantez un maximum de plantes aux fenêtres, sur les balcons et la façade pour profiter de leurs bienfaits rafraîchissants (et esthétiques). 

balcon plantes vertes

Investir dans un éventail (ou un ventilateur)

Adoptez la mode espagnole et achetez un éventail. Ce petit accessoire à emporter partout et à agiter devant soi produit de l’air et permet de se rafraîchir naturellement. Il en existe de très jolis qui peuvent également devenir un accessoire de mode ! Un ventilateur fait également l’affaire mais pensez à bien le débrancher quand vous quittez la pièce. 

Tip supplémentaire : Tendez un drap mouillé en face du ventilateur (pas dessus), cela aidera à rafraîchir la pièce encore plus vite. 

Eteindre les appareils électroniques

Les appareils électroniques branchés dans la maison génèrent de la chaleur. Éteignez-les (au moins la nuit), vous ferez des économies et gagnerez de la fraîcheur. 

➡️5 gestes pour réduire son empreinte numérique 

Dormir avec un essui mouillé

Astuce testée et approuvée par la rédac’ : dormir avec un essui de bain ou gant de toilette mouillé dans le lit pour rafraîchir votre température corporelle. Certains préconisent également de placer son oreiller ou ses draps ou congélateur quelques heures avant le coucher. Enfin, 

➡️5 conseils pour bien dormir 

Pour dormir mieux l’été, vous pouvez également faire le choix de changer de couette et opter pour une matière plus légère et respirante pour les beaux jours. On vous présente la couette été de Plumka dans cet article, parfaite pour rester au frais même les nuits les nuits plus chaudes. 

lit et draps

Porter des vêtements amples et thermorégulateurs

Certaines matières sont thermorégulatrices, c’est-à-dire qu’elles maintiennent chaud l’hiver et frais l’été. Elles laissent à la fois respirer et absorbent l’humidité. C’est le cas pour le coton, le lin, le chanvre et même la laine naturelle. En été, optez donc pour des vêtements amples dans l’une de ces matières, confort assuré ! 

Ce conseil vaut également pour les draps de lit 😉 

➡️Le guide des matières éco-responsables

S’habiller en été : les matières éco-responsables et respirantes

Adapter ses activités

Deuxième tendance espagnole à adopter : la sieste, ou du moins ralentir le rythme pendant les heures les plus chaudes. Si votre activité vous le permet, adaptez vos horaires et accordez-vous une pause l’après-midi pour rester au calme et au frais. 

De même pour les loisirs, pratiquez votre activité physique tôt le matin ou le soir aux heures les plus fraîches. Évitez également de cuisiner avec le four en pleine journée au risque de réchauffer la pièce.

➡️10 activités slow à faire cet été 
➡️10 lieux nature où se baigner en Belgique 

S’hydrater

Last but not least, on n’oublie pas de s’hydrater! En ces périodes de fortes chaleurs, boire de l’eau est plus qu’un indispensable, c’est vital. Dans cet article, on vous livre 5 idées d’eaux aromatisées. Pour les enfants (ou pas), vous pouvez aussi fabriquer vos propres glaces à l’eau à base de fruits frais par exemple. 

Passez un bon été ! 

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5 idées d’eaux aromatisées pour rester hydraté en été 

Il fait chaud, très chaud. C’est le moment d’appliquer les conseils anti-canicule : se protéger du soleil aux heures les plus chaudes, ralentir le rythme et, surtout, bien s’hydrater avec de l’eau. Mais vous faites peut-être partie de celles et ceux qui trouvent l’eau sans goût et intéressante… Découvrez nos idées d’eaux infusées et aromatisées, un bon moyen d’éviter les boissons trop sucrées et pleines d’additifs tout en profitant d’une boisson originale et savoureuse. 

La limonade classique, avec un petit plus

Quand on pense à une eau aromatisée, le plus souvent c’est la limonade qui nous vient en premier à l’esprit. Eau et jus de citron, rien de plus simple, et c’est déjà très bon ! Cependant, vous pouvez toujours optimiser ce combo pour un peu plus d’originalité… Pourquoi ne pas y ajouter des morceaux d’ananas par exemple ? Ou de la menthe fraîche pour se rapprocher du goût du mojito. C’est au choix et à peu près tout fonctionne, c’est ça qui est cool ! 

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L’eau florale

C’est vrai qu’on pense souvent aux fruits pour les eaux aromatisées mais certaines fleurs peuvent s’avérer très intéressantes pour leur saveur également. Nous pensons notamment à la populaire fleur d’oranger pour un goût oriental ou encore la lavande pour une touche provençale. Mais vous pouvez également opter pour de la rose, de la camomille ou de la fleur de sureau, en fonction de vos goûts et de ce que vous pouvez trouver près de chez vous. 

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Psssst ! Les combinaisons avec des herbes aromatiques ça marche aussi.

L’infusion au romarin et au pamplemousse

En parlant d’herbe aromatique, avez-vous pensé au romarin ? Nous sommes beaucoup à en avoir dans notre jardin. Cette herbe très parfumée se marie bien avec le pamplemousse pour une eau savoureuse et plutôt originale. De quoi en surprendre plus d’un si vous servez cette boisson à des invités. En plus, il faut le dire, c’est super joli ! 

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L’eau détox au gingembre

Le gingembre, souvent, ça passe ou ça casse. Si vous faites partie des adeptes de cette racine de type “super aliment”, ne vous privez pas d’en infuser dans vos eaux aromatisées. Souvent associé avec du citron, voire même un peu de piment de Cayenne, ce mélange posséderait de nombreux bienfaits : stimulation du système digestif, immunité, perte de poids… A tester ! 

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L’eau rafraîchissante au concombre et fraises

Fruits, fleurs, herbes aromatiques, racines,… mais aussi légumes ! Il existe tellement de possibilités et de types d’ingrédients que nous pouvons infuser pour des boissons savoureuses et pleines de vertus. Ici nous vous recommandons un de nos coups de cœur : le mélange fraises et concombre. Un combo gagnant pour une infusion désaltérante grâce au concombre et gourmande grâce aux fraises (locales et de saison bien sûr 😇). 

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Petit tip bonus qui vaut pour toutes les recettes : vous pouvez remplacer l’eau plate par de l’eau pétillante pour toujours plus d’effet.

Nous espérons vous avoir inspiré.e.s pour concocter vos propres boissons infusées saines et rafraîchissantes. Ce sont ici des idées pour vous guider mais si vous vous motivez, vous constaterez très rapidement que les combinaisons possibles et savoureuses sont presque infinies. Pastèque, kiwi, pêche, myrtilles, oranges, épices,… Essayez avec ce que vous avez chez vous. 

N’hésitez pas à nous taguer sur Instagram ou Facebook si vous reproduisez une de ces idées (ou si vous en avez une autre à nous partager).


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➡️ Bien choisir sa crème solaire cet été

➡️Nos conseils pour rester au frais sans air conditionné cet été

Tournée Minérale: 10 raisons d’y participer

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5 conseils pour prendre soin de ses maillots de bain et bikinis

Vous l’avez probablement déjà expérimenté, les maillots de bain se détendent et s’abîment généralement assez vite si on n’en prend pas soin. Fabriqués la plupart du temps à partir de fibres de nylon et d’élasthanne, des matières plastiques, ceux-ci ne sont en plus pas très écologiques. Raison de plus pour éviter d’en acheter trop régulièrement et faire de notre mieux pour prolonger leur durée de vie. Rappelons-le, la slow fashion c’est acheter éco-responsable mais aussi utiliser les choses que l’on possède le plus longtemps possible pour éviter de surconsommer. 

➡️ Le guide des matières éco-responsables: vers une mode plus durable

Focus sur les cinq règles d’or qui regroupent les meilleurs conseils et astuces pour préserver au mieux vos bikinis et maillots de bain.

Règle n°1 : toujours rincer son maillot à l’eau claire

Après une baignade dans l’eau de mer ou l’eau chlorée, il est indispensable de bien rincer son maillot de bain à l’eau claire. Une règle de base bien connue et souvent répétée mais que beaucoup ont tendance à déroger de temps en temps. Une erreur qui peut être fatale pour le textile de votre vêtement d’eau préféré. 

Pensez également à favoriser l’eau froide, l’eau chaude risque de modifier la maille et l’élasticité des fibres. Attention! Ne pas laisser tremper non plus, ce n’est pas bon, rincer correctement suffit. 

Petit tip : Prenez votre maillot avec vous dans la douche le soir et rincez-le à ce moment-là. 

Règle n°2 : un lavage doux mais sans adoucissant

Rincer après chaque utilisation c’est bien, mais laver aussi de temps en temps c’est mieux évidemment. Pour un lavage efficace et sans conséquence pour votre maillot de bain ou votre bikini, préférez un lavage à la main (toujours à froid) ou avec un programme délicat en machine : programme court et essorage minimum. Pensez à utiliser un produit de lessive doux pour linge délicat, du savon de Marseille c’est très bien aussi, et surtout pas de produit adoucissant au risque de boucher la fibre du textile. 

ombre bikini

Règle n°3 : un séchage avec précaution

Qui dit rinçage et lavage dit aussi séchage. Bien entendu, on ne met jamais son maillot au sèche-linge en machine ! Comme expliqué plus haut, le textile des maillots de bain et la chaleur ne font pas bon ménage. Si vous avez lavé votre maillot à la main, ne l’essorez pas en le tordant (toujours pour préserver la forme des fibres). Faites plutôt une boule que vous pressez délicatement pour en retirer le plus d’eau possible. Ensuite, on évite un séchage au soleil direct pour la chaleur (vous l’aurez compris) mais aussi pour préserver la couleur du tissu. L’idéal serait même de le faire sécher à plat. 

A savoir également que les fibres textiles ont besoin de 24 heures pour sécher complètement et reprendre leur place. Pensez donc à alterner chaque jour entre vos différents maillots, en posséder deux suffit déjà bien sûr.

Règle n°4 : attention aux produits solaires

Se protéger des rayons du soleil en été est super important. Découvrez d’ailleurs notre guide pour bien choisir sa crème solaire. Cependant, la plupart des produits anti-UV, huile ou lotion, peuvent tâcher irrémédiablement sur nos maillots. Si un accident arrive, rincer le tissu rapidement à l’eau claire avec du liquide vaisselle, du savon de Marseille ou même du shampoing. L’idée est d’agir rapidement pour éviter que la tâche s’incruste et ne parte plus par la suite. 

Règle n°5 : bien choisir son maillot à l’achat

Finalement, et cela va de soi, pour garder un maillot longtemps il est préférable de le choisir de bonne qualité dès l’achat. Comme toujours, on préfère favoriser la qualité à la quantité. Exit les dizaines de maillots à moins de 10€ de chez SH*** (celui dont on ne doit pas prononcer le nom). L’idéal est bien sûr de faire son shopping chez des marques éthiques, comme Kaly Ora par exemple, qui favorisent des matières plus responsables (au minimum recyclées). Cependant, en fonction de votre budget, vous pouvez aussi choisir un maillot ou un bikini de la meilleure qualité possible dans une grande enseigne classique. Généralement l’épaisseur de la matière peut-être un bon indicateur de qualité, prêtez également attention à la coupe et aux coutures. Et, si celui de votre choix possède un petit “label” éco-responsable (conscious, Oeko-tex, matières recycylées,…), c’est toujours ça de pris!

Vous connaissez notre philosophie chez Mode in Belgium : rien ne sert de culpabiliser, on fait ce qu’on peut, à notre échelle et en conscience. 😊

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Où se faire percer en Belgique ?

Le piercing est une pratique qui existe depuis des millénaires et qui était déjà utilisée par nos ancêtres. Elle consiste à se perforer le corps afin d’y ajouter un ornement. Le piercing était considéré comme un rite magique ou bien initiatique pour certaines tribus. Sur l’oreille, la langue ou encore le nombril, il a su faire ses preuves au cours de ces dernières années en devenant une pratique tendance.

Namur

110 piercings, Adrénaline Tattoo et Black Ship Tattoo sont les trois adresses incontournables à Namur pour vous faire percer. Situés en plein dans le centre-ville, ces salons de piercing vous réservent un accueil chaleureux et un résultat de qualité. Sur votre corps ou votre visage, ces spécialistes vous garantissent tout le professionnalisme et l’accompagnement nécessaire lors du moment fatidique.

Bruxelles

Notre belle capitale cache un grand nombre de perceurs mais nous avons sélectionné les meilleurs rien que pour vous. 

Commençons par Inksane Tattoo Bruxelles, un salon situé au cœur de la capitale à l’écoute et bienveillant aussi bien pour vos projets tatouages que piercings. 

Situé à Dansaert, dans les quartiers du centre et à l’abri des regards, Ritual Body et Tattoo vous offre tout l’accompagnement que vous aurez besoin au moment de vous faire votre piercing.

Chaleureux et à l’écoute, le salon Perle Noire promet des bijoux de qualité supérieure et hypoallergéniques qui conviendront à tout le monde.

Avec son style bien à lui, Arkle Piercing vous dédie tout son savoir-faire dans un cadre spacieux et lumineux. La rigueur et l’expérience du métier de leurs travailleurs leur vaut largement leur renommée dans Bruxelles.

Liège

Graffiti Studio est un salon de tatouage mais aussi de piercing situé non loin du centre-ville qui garantit une ambiance sereine et qui offre aux clients tous les conseils pour que le résultat soit le plus qualitatif.

Réputé pour son esthétisme et son esprit tendance, Enfant Terrible est l’une des adresses à ne pas louper si vous voulez vous faire percer. Avec son salon designé à la perfection, la boutique offre aussi un large choix de bijoux tendances pour tous les goûts. Et si vous n’étiez pas encore convaincu, Gaelle Garcia Diaz à elle choisit de leur faire confiance.

Mons

Chez Siam FifthySeven vous aurez la chance de rencontrer Cerise et Duch. Deux body perceurs passionnés par leur métier. Ils vous accueilleront, renseigneront et perceront tout ça avec le sourire.

Select Tattoo et Family Cat sont aussi deux bonnes adresses bien notées et aux avis positifs des clients. Accueil chaleureux et professionnalisme, vous serez bien traités chez ces deux salons de piercing.

Flandre

Si vous habitez en Flandre ou que vous avez envie de vous faire un petit trip par l’une des villes du nord de la Belgique, nous vous conseillons de passer par Roxy Piercing Studio à Anvers. Un petit souvenir de l’une des plus belles villes belges.

A Gand, Beautiful Freak Piercing est l’une des adresses les plus reconnues du coin pour passer à l’action.

Et si vous êtes de passage à Hasslet, n’hésitez pas à faire un tour chez Voodoo Piercing.

Vous voilà désormais bien informés. N’oubliez surtout pas de bien désinfecter votre piercing et de suivre les conseils de votre perceur pour une cicatrisation parfaite. 

Lire aussi … 

➡️Nos meilleurs conseils tatouage

Sandra Sacré 

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Mode

Le guide des matières éco-responsables: vers une mode plus durable

Une matière éco-responsable se définit principalement par son faible impact environnemental. Elle peut être naturelle ou en partie naturelle et même recyclée. Si, en plus, les moyens de production de cette matière sont éthiques, c’est un vrai combo gagnant. Faisons le point. 

Mode éthique, mode éco-responsable, matière recyclée ou upcyclée, tout un jargon que nous tentons d’apprivoiser à partir du moment où l’on s’intéresse à la mode plus durable. Pour en savoir plus sur ce vocabulaire, découvrez notre Glossaire de la mode éthique et responsable

L’impact environnemental de nos vêtements

On le répète très souvent, l’industrie textile est très polluante. Aujourd’hui, de plus en plus de marques mais également de consommateurs se tournent et s’intéressent à la slow fashion. Un tournant nécessaire si l’on souhaite changer les choses et agir pour notre planète (chacun à son échelle, évidemment). 

L’une des premières choses à prendre en compte dans la mode est la matière première utilisée. Celle-ci va être déterminante dans le calcul de l’empreinte environnementale que va laisser le vêtement. Pour que ce dernier soit éco-responsable, il est nécessaire d’opter pour des matières naturelles ou recyclées peu polluantes. Et oui, rappelons quand même que le polyester (le petit favori de la fast fashion) est obtenu à partir de dérivés du pétrole tandis que le lin ou le chanvre d’une plante … Mais attention, fibre naturelle ou végétale ne signifie pas non plus un sans faute. Certaines matières, comme le coton, demandent de grandes quantités d’eau et il faudra privilégier les labels biologiques pour éviter l’ajout de substances chimiques. De plus, certaines marques jouent également sur les pourcentages de tissus biologiques et recyclés pour camoufler la matière principale qui est elle synthétique. 

Outre la matière première, il est également important de prendre en compte les moyens de production (dont les procédés de traitement et de teinture des tissus), le lieu et les conditions de travail. Pour savoir comment reconnaître une marque éthique et éco-responsable, consultez cet article. La clé ? L’étiquette et la transparence de la marque envers les consommateurs. 

Les matières naturelles et à base de fibres naturelles

Les fibres naturelles peuvent être d’origine végétale ou animale. On distingue aussi les tissus à base de fibres naturelles dont de nouvelles matières ultra innovantes fabriquées à partir de cellulose. 

Le lin

Le lin est une des matières les plus éco-responsables. En effet, en plus de demander très peu d’eau pour pousser, peu d’entretien et pas ou peu de pesticides, le climat français et belge lui convient parfaitement. Utilisé dans l’habillement, le lin est un tissu à la fois léger, résistant et thermorégulateur idéal pour les vêtements du quotidien. 

Le lin biologique

Si le lin est déjà une matière très écolo de base, il se peut que les productions standards utilisent quelques produits chimiques pour faciliter sa production et son traitement. Optez pour du lien BIO est un petit pas supplémentaire vers l’éco-responsabilité de cette matière. 

Le chanvre

Le deuxième grand gagnant de l’éco-responsabilité : le chanvre. Le chanvre est une plante qui a tout bon et qui compte de nombreuses utilisations ! En cosmétiques, en cuisine et même dans le monde du textile, cette plante est à privilégier. Le chanvre est également cultivé en France et en Belgique (entre autres) et demande, elle aussi, très peu d’eau. 

Notre article complet sur le chanvre : Le chanvre textile, un tissu écologique à adopter

Petite mise en garde concernant le lin et le chanvre, essayez d’être attentif au pays où le vêtement est confectionné. Le lin ou le chanvre peut venir de France mais être envoyé en Asie pour être transformé et renvoyé en Europe pour être vendu.

Le liège

Le liège est de plus en plus utilisé dans le monde de la mode éco-responsable, bien souvent en maroquinerie pour les sacs, portefeuilles et autres accessoires. Le liège provient de l’arbre chêne-liège, un arbre qui ne meurt pas lorsqu’on enlève son écorce et qui se régénère et ce, sans aucun traitement chimique. Cet arbre pousse dans les pays méditerranéens comme l’Espagne, l’Italie et le Portugal. 

Le coton biologique

Le coton traditionnel, bien que ce soit une matière naturelle, n’est pas pour autant éco-responsable. Cette matière représente 25% de la production textile mondiale et est cultivée en Inde, Turquie, Chine et USA. Elle demande à la fois beaucoup de chaleur mais également d’eau, en (très) grande quantité ainsi que des produits chimiques pour son traitement. Si vous faites le choix du coton, il vaut mieux privilégier le coton biologique  (généralement certifié GOTS) qui assure que la production soit faite sans produit polluant et dans le respect des travailleurs. 

La laine naturelle

D’origine animale, la laine naturelle est une matière à la fois éco-responsable et pratique. Les vêtements en laine ne demandent que peu d’entretien. En effet, elle est thermorégulatrice et antibactérienne et il est conseillé d’éviter de la laver à la machine. Elle est également biodégradable. 

Attention, faites bien attention à la provenance de la laine. Certains labels certifient une méthode de production respectueuse du bien-être animal. 

Toutes les infos sur la laine naturelle dans notre article dédié : La laine naturelle, notre allié pour l’hiver !

Le tencel ou Lyocell

Le Tencel est la marque déposée du Lyocell développée par la société autrichienne Lenzing. 

Alternative éco-responsable à la viscose, cette matière est composée de fibres artificielles produites à partir de la pulpe des arbres. La pulpe de l’arbre doit être dissoute dans un solvant naturel ce qui permet d’obtenir la fibre. Ce solvant est ensuite recyclé, ce qui en fait un processus 100% éco-responsable, contrairement à la viscose traditionnelle. Idéalement, il est conseillé de choisir les tissus avec le label FSC (qui assure une gestion des forêts responsable). Le tencel est idéal pour les vêtements techniques et de sport car il est très respirant et absorbe l’humidité. 

On trouve également parfois le nom Ecovero, le petit frère du Tencel, presque comparable à la soie. 

La viscose, une matière artificielle polluante

Le Tencel est souvent décrit comme une alternative positive à la viscose, une matière artificielle très répandue dans le monde de la mode car très résistante, facile à teinter et qui s’adapte à toutes les coupes. La viscose est obtenue à partir de la cellulose de bambou ou de coton transformée par un procédé très chimique (à base de sulfate de soude et d’acide citrique, des produits non recyclés ni recyclables) et gourmand en eau. 

Le modal

Également un concept lancé par l’entreprise autrichienne Lenzing, le modal est fabriqué à partir de cellulose de bois de hêtre transformé en tissu par un procédé chimique. Le gros plus de cette matière est qu’elle peut être recyclée à 99% et sa production demande très peu d’eau. Le modal est très doux et souple et il va le plus souvent être utilisé pour les sous-vêtements. 

Comme pour le tencel, il faut être attentif à l’origine du bois utilisé pour la création du modal.

Le cuir au tannage végétal et les cuirs vegans

Le tannage est le procédé par lequel la peau animale est transformée en cuir. Traditionnellement, ce procédé se réalise avec des du chrome, un produit loin d’être éco-friendly. Aujourd’hui, de plus en plus de marques éco-responsables optent pour le tannage végétal à l’aide d’écorce, de bois et de feuilles. 

Pour une alternative au cuir sans exploitation animale, pensez aux cuirs végétaux qui ont de plus en plus la cote. Obtenus à partir d’ananas, de raisins ou encore d’eucalyptus qui sont à la fois moins chers à produire et évitent l’élevage animal destiné à ces fins.

Les matières recyclées

Polyester recyclé

Le polyester classique est sans doute une des fibres les plus polluantes qui existent dans le monde du textile, un allié incontestable de la fast fashion. Résistante et légère, elle ne se froisse pas et sèche rapidement. Elle a tout d’une matière idéale sauf qu’elle provient d’un dérivé du pétrole (environ 1,5 kg de pétrole = 1 kg de polyester). Les vêtements produits à partir de cette matière vont rejeter tout au cœur du cycle de leur vie des micro particules de plastique qui finissent directement dans la nature. 

Néanmoins, on peut également trouver sur le marché du polyester recyclé. Kesako ? Il s’agit de tissu obtenu à partir d’autres déchets textiles ou de recyclages de bouteilles en plastique par exemple. Ce processus permet de réduire l’empreinte écologique des vêtements. Il n’est pas rare de trouver des combinaisons de matières dans un même habit avec X % de polyester recyclé, X % de lin, etc. 

Nylon recyclé

Le nylon est également une fibre synthétique très polluante. De nouveau, l’innovation a permis de mettre en place certains procédés de recyclage du nylon pour obtenir une fibre plus éco-responsable. Econyl par exemple, est une marque déposée par une entreprise italienne qui recycle les déchets plastiques des océans pour en faire des fibres nouvelles. Cette matière est principalement utilisée dans les maillots de bain car elle est à la fois élastique et résistante. Attention, il s’agit toujours d’une matière synthétique qui rejette des microparticules. Mais cela de façon bien moindre que pour du nylon ou du polyester classique. 

Le problème des fibres synthétiques

Polyester, acrylique, nylon, élasthanne, .. en regardant l’étiquette de nombreux vêtements on trouve ces noms bien connus de l’industrie textile. Les matières synthétiques ont vu le jour dans les années 40 mais n’ont été démocratisées que 30 ans plus tard. Fibres adorées de la fast fashion, elles sont bon marché et faciles à travailler. Pourtant, leur production est l’un des procédés les plus polluants du 21e siècle. Le polyester (et les autres) est obtenu à partir de pétrole (une ressource première limitée …) transformé en fibre (la polymérisation) par un lourd processus rejetant une quantité astronomique de CO2. Cerise sur le gâteau, les agents chimiques utilisés pour fabriquer les matières synthétiques sont éliminés au fur et à mesure des lavages de nos vêtements. 

Caoutchouc recyclé

Utilisé bien souvent pour les semelles de chaussures de marque engagée, le caoutchouc recyclé permet d’éviter l’exploitation de matière neuve inutilement. Le caoutchouc naturel est obtenu à partir du latex de l’arbre hévéa, une culture très controversée tandis que le caoutchouc synthétique à partir de pétrole, tout aussi controversé et encore plus polluant !  Les déchets de caoutchouc sont fréquents : pneus de voiture et de vélo, anciennes semelles de chaussures, … les réutiliser apparaît comme une solution éco-responsable et économique. 

Une mode plus durable est possible et cela passe entre autre par le choix de matières éco-responsables. 

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