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Lifestyle

7 conseils pour organiser une fête éco-responsable

Anniversaire, pot de départ, crémaillère…, il existe diverses occasions pour organiser une fête. Souvent associée à des ballons, de la vaisselle en plastique ou des emballages cadeaux jetables, on ne pense pas toujours à son impact environnemental. Pourtant, penser à l’éco-responsabilité tout en gardant l’esprit festif, c’est possible. Voici nos 7 conseils pour organiser une fête éco-responsable.

Côté gourmandises

Privilégier le fait maison

On ne peut évidemment que vous inciter à faire vos gourmandises maison ! Les avantages sont, en effet, nombreux. Vous pouvez décider de ce que vous voulez précisément : fruits, chocolat, pâtisserie, sucré ou salé… Mais vous pouvez également privilégier les produits de saison et diminuer au maximum les emballages, surtout si les aliments servant à la préparation sont pris en vrac. De plus, il ne faut pas forcément être chef pâtissier pour passer un bon moment. Un simple cake aux pommes (si c’est la saison), décoré de crème chantilly et le tour est joué, par exemple ! Pour le côté salé et un apéritif anti-gaspi, il suffit de faire passer vos épluchures aux four pendant 15min et de les assaisonner pour avoir de simples chips savoureuses. Pour les boissons aussi, privilégiez le fait maison avec des eaux aromatisées, par exemple, ou du thé ou café éthique si votre fête se déroule à l’heure du goûter.

Minimiser ses déchets alimentaires : nos astuces zéro déchet dans la cuisine

Solliciter les acteurs locaux

Si vous n’êtes pas à l’aise avec l’idée de cuisiner vous-même, pensez à solliciter des acteurs locaux pour les différents mets. Pour le côté salé, tournez-vous vers un traiteur local si vous êtes nombreux. Pour le côté sucré, de nombreuses pâtisseries ou boulangeries proposent des gâteaux souvent personnalisables selon le thème. La seule contrainte est de s’y prendre à l’avance, bien entendu !

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Utiliser de la vaisselle réutilisable

Quand on organise une fête avec beaucoup de monde, on peut être vite découragé à l’idée de devoir nettoyer toute la vaisselle… Si vous êtes en petit comité, privilégiez quand même la vaisselle que vous possédez déjà, c’est la solution anti-gaspi par excellence ! Cependant, si vous n’en n’avez pas assez, il existe de nombreuses alternatives aux assiettes jetables en plastique. Ces alternatives sont biodégradables, compostables et/ou recyclables. Vous avez le choix entre des assiettes en canne à sucre (également appelée bagasse), en bioplastique compostable, en carton recyclé, ou encore en kraft. Pour ce qui est des couverts, on en trouve également en bois biodégradable, si vous ne souhaitez pas lavez ceux que vous possédez.

Côté cadeaux

Offrir un moment ou un cadeau éthique

On vous l’a déjà dit pour Noël ou pour la Saint-Valentin, les meilleurs cadeaux sont les moments privilégiés qui offrent des souvenirs impérissables. Pensez donc à offrir des places de concert, de spectacle ou une box séjour, par exemple. Si vous souhaitez quand même offrir un cadeau matériel, on ne peut que vous conseiller de faire un tour dans notre répertoire de marques éthiques et éco-responsables Made in Belgium !

Emballer ses cadeaux avec du kraft ou un furoshiki

Les emballages cadeaux c’est l’élément éphémère d’un anniversaire, par excellence… On l’achète, on emballe, on ouvre et direction la poubelle. Pour remédier à ce problème, rien de plus simple. Pensez à utiliser des vieux journaux, par exemple, pour un côté plus vintage et éco-friendly. Vous pouvez également utiliser du kraft qui est un papier entièrement recyclable et biodégradable. Si vous souhaitez un emballage plus esthétique et réutilisable, on vous conseille le furoshiki qui est une méthode japonaise d’emballage avec du tissu. L’avantage est que vous pouvez choisir le tissu qui vous plaît le plus. En plus de ça, il existe différentes méthodes d’emballage selon le contenu, en voici un exemple simple, mais vous pouvez en trouvez d’autres sur Pinterest !

furoshiki

Côté déco

Les décorations faites maison

Le fait maison, ce n’est pas réservé qu’à la cuisine. Et oui, vous pouvez, bien entendu, faire votre décoration vous-même aussi. Les guirlandes en papier permettent de choisir les couleurs que vous souhaitez et de les personnaliser comme bon vous semble. Pour ce faire, utilisez du carton ou du papier que vous découpez dans une forme qui vous convient : une étoile, un cœur, un fanion, un rectangle, tout est possible. Ensuite, il vous suffit de coller ces bouts de papier ou carton à une ficelle et le tour est joué ! Pour ce qui est des tables, vous pouvez utiliser des boîtes de conserves vides que vous peignez de la couleur que vous souhaitez ou des bocaux que vous remplissez avec une petite bougie ou des fleurs, selon le thème. Enfin, si vous souhaitez des confettis, vous pouvez également les réaliser avec du vieux papier en utilisant une perforatrice classique ou à formes diverses, pour plus de fantaisie.

déco home made

La décoration comestible

Pour un peu plus de gourmandise, vous pouvez également penser à une décoration comestible. Des brochettes de bonbons ou de fruits en forme de bouquet dans un vase ou une vieille bouteille en verre, par exemple, permet de divertir les invités et de ne pas gaspiller. Les aliments peuvent également être mis dans des bocaux. Pensons à des pop-corn pour un thème cinéma, un assortiments de noix pour un thème automnal ou encore des fruits rouges pour un thème floral.

Avec ces 7 conseils, on espère que l’on vous a convaincu que, peu importe l’occasion pour laquelle vous vous retrouvez, votre fête peut toujours rimer avec éco-responsabilité ! 

Article écrit par Loredana Nardello, stagiaire

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Société

« Tous les corps sont beaux »: le mouvement body positive, qu’est-ce que c’est?

Mouvement social qui a pris de l’ampleur ces dernières années, le body positive, également nommé body positivity en anglais, est souvent réduit à l’acceptation des corps dits « gros ». Pourtant, son objectif est bien plus large. Qu’est-ce que le body positive ? Quelle est son histoire ? Comment le pratiquer ? On vous en parle plus en détails dans cet article.

Nos conseils pour apprendre à accepter son corps

Une définition controversée

On a souvent tendance à penser que ce mouvement social prône l’acceptation des corps dits « gros » (comprenons ici, pesant plus de kilos que les standards sociétaux), c’est faux. En effet, le body positive est bien un mouvement social, mais il ne se limite pas à l’acceptation des formes. Et oui, l’objectif de ce mouvement est d’accepter TOUS les types de corps humains. Ce compris, les corps présentant des tâches (de rousseurs, varices), de la cellulite, des cicatrices, des vergetures ou encore des « déformations » physiques. Pour mener à bien cet objectif d’acceptation corporelle, le mouvement essaie d’inciter les femmes à poster, sur les réseaux sociaux, de plus en plus de photos naturelles, sans retouche de leur complexe. Le principe est de mettre en lumière tous les types de corps, pour que ce qui était auparavant perçu comme une déformation ou un défaut soit maintenant perçu comme normal. 

Une histoire plus vieille qu’on ne le pense

Bien que le mouvement body positive ait connu une ascension fulgurante ces dernières années grâce aux réseaux sociaux, son histoire remonte aux années 90. C’est en 1996 qu’Elizabeth Scott et Connie Sobczak créent l’organisation « The Body Positive » aux Etats-Unis. L’objectif de cette organisation est d’inciter les femmes à aimer leur corps tels qu’ils sont, peu importe s’ils ne respectent pas les normes sociétales liées à l’apparence féminine. Pour ce faire, elles mettent en place des formations et des ateliers ouverts à tous. D’ailleurs, cette organisation continue toujours d’exister, pour en savoir plus, rendez-vous sur leur site internet.

La montée en puissance sur les réseaux sociaux

S’il peut se mettre en place dans la « vraie vie », le mouvement body positive s’est surtout développé sur les réseaux sociaux. Son terrain de jeu favori ? Instagram. Réseau social de la photographie, Instagram est parfois critiqué pour être la source de nombreux complexes. Parmi ceux-ci, les complexes corporels. En effet, alimenté par des photos retouchées mettant souvent en scène tout ce que la société considère comme physiquement « beau », Instagram peut renforcer les complexes liés au corps. Hors, ces dernières années, il est également animé par le mouvement body positive. Vous avez sûrement vu passer les hashtags #youareworthy, #allbodiesaregoodbodies, #objectifbikinifermetagueule, #instacurves, ou encore #samebodydifferentpose ? Tout cela a pour but de démocratiser le mouvement et d’inciter les femmes à poster des photos de la « vraie vie » avec son corps, sans retouches, ni filtre.

Y participer, plus facile à dire, qu’à faire

Évidemment, même si ce mouvement incite à poster des photos de son corps en mode nature peinture, ce n’est pas chose aisée pour la plupart des femmes. Comment faire pour arriver à passer le cap ? Nous vous conseillons, pour commencer, de suivre des instagrameuses qui le pratiquent. Parmi les plus connues : @corpscools, @thebodyoptimists ou encore @onveutduvrai. Le tout est de choisir des influenceuses qui vous font vous sentir bien, tant mentalement que physiquement pour, petit à petit, apprendre à accepter votre corps tel qu’il est. Il y a également différents types d’influenceuses body positive. A vous de suivre celles qui mettent en avant un sujet qui vous intéresse : l’acceptation d’un handicap physique, de tâches, de formes ou encore d’imperfections, par exemple.

Le body positive dans la mode

Bien qu’il n’y ait pas de terme précis pour le définir, contrairement au greenwashing ou pinkwashing, le body positive, aussi, fait partie des récupérations commerciales. Nombreuses sont les enseignes de fast fashion qui surfent sur la vague de l’inclusion en proposant des collections « curvy » ou « plus size ». S’il l’on peut souligner l’effort réalisé, ce n’est souvent qu’une simple façade. Effectivement, la plupart créent des collections «à part» des collections principales, se limitent à des tailles allant jusqu’au 44 et ne mettent en avant que des femmes représentant les normes sociales corporelles. De ce fait, pas de body positive puisque l’on ne permet pas d’inclure toutes morphologies comme le veut le mouvement. Ce phénomène peut donc être contre-productif, puisque la volonté de décomplexer se transforme souvent, finalement, en un renforcement des complexes.

Une critique avec le body neutrality ?

Pour certains, le mot « positive » requiert d’être tout le temps en accord avec son corps et, au-delà de ça, d’en être content. De ce fait, cela imposerait une charge mentale et une pression sociale ne permettant pas d’avoir des difficultés avec son corps, de temps en temps. Pour contrer cet aspect, on voit parfois l’appellation plus large de « body neutrality ». Ce mouvement consiste à considérer le corps, non plus comme un élément esthétique mais bel et bien un élément neutre. L’objectif est d’ôter toute attente esthétique et critère de beauté liée au corps, pour le voir comme il est : un moteur permettant de vivre, manger, boire, bouger.

On espère qu’au travers de cet article, le mouvement body positive se sera éclairé pour vous et que, si vous avez des complexes, il vous aura permis de savoir comment les atténuer.

Article écrit par Loredana Nardello, stagiaire

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Lifestyle

8 idées de déguisements pour enfants DIY et éco-responsables repérées sur Pinterest

Que ce soit pour le carnaval, un anniversaire ou encore Halloween, il ne manque pas d’occasion où vous devez trouver un déguisement pour votre enfant. Il est parfois compliqué de trouver une idée et encore plus une idée respectueuse de l’environnement. Pas de panique, on a repéré pour vous 8 idées de costumes DIY et éco-responsables pour les enfants.

Disclaimer : Vous pouvez bien entendu vous aussi puiser dans ces idées pour vous déguiser

1. La momie

Pour Halloween ou pour une fête sur le thème égyptien, le costume de la momie est parfait. En plus de cela, il est simple à réaliser ! En effet, pour le réaliser vous aurez seulement besoin de morceaux d’un vieux tissu blanc ou de bandages (qui traînent souvent au fond du tiroir…). Ensuite, il vous suffit de les enrouler autour de votre enfant, par-dessus un vêtements blanc et les nouer. Pour les plus à l’aise avec la couture, vous pouvez, également, les coudre sur le vêtement directement.

2. La pieuvre

Faire de votre enfant une petite pieuvre tout droit issue des fonds marins, n’a rien de compliqué. Pour réaliser ce costume, il vous suffit de rembourrer 3 paires de collant avec du tissu et de les coudre à un ruban à nouer autour de la taille de votre enfant. Les 2 dernières tentacules ne seront autre que ses jambes. Pour que le costume soit uniforme, on vous conseille de choisir des collants aux couleurs similaires, mais le carnaval c’est l’occasion de créer des monstres marins uniques!

3. La chauve-souris

Pour certains ce sera une simple chauve-souris, pour d’autres ce sera l’occasion d’être un célèbre super-héros le temps d’une journée. Pour ce faire, rien de plus simple. Vous aurez besoin d’un haut et d’un bas noir. Ensuite, il ne reste qu’à coudre des vieux bouts de tissus noirs sous les bras et le tour est joué ! Pas fan de couture? L’autre solution, c’est d’attraper un grand bout de tissu noir dont vous ne vous servez plus, de découper les bords pour donner l’illusion des ailes et d’y faire un trou au centre pour passer la tête.

4. Les masques

Si vous ne savez pas quoi faire de vos boîtes à œufs, on a la solution. Vous pouvez les découper et les peindre pour en faire un masque. Il existe de nombreuses idées toutes plus loufoques les unes que les autres : oiseaux, lions, girafe, ou encore souris, tout est possible ! Pour le faire tenir, un simple lacet usé à nouer, un ruban ou un élastique pour vêtement passé sur les côtés à nouer derrière la tête, et le tour est joué. L’avantage, c’est que c’est une activité ludique pour les enfants qui pourront décorer leur costume comme ils le souhaitent.

5. L’astronaute

Vous avez, par hasard, des bouteilles en plastique ou vous arrivez à en récupérer? Elles permettront de former des réacteurs qui mèneront votre enfant tout droit, vers l’infini et au-delà ! Pour ce faire, il vous suffira de les coller ensemble ou sur un bout de carton en forme d’ailes d’avion. Comme pour le masque et pour un esprit totalement éco-friendly, vous pouvez réutiliser des lacets ou des rubans en guise de bretelles.

Pas envie ou pas de possibilité de trouver des bouteilles en plastique ? Pas de panique ! On les remplace par des rouleaux d’essuie-tout ou de papier toilette. Pour un petit plus, on peut même rajouter le casque de cosmonaute en faisant un trou dans une boite en carton et en l’agrémentant de petits dessins… Pour les plus manuels, on vous a trouvé un patron un peu plus élaboré.

6. Le papillon

Vous avez un grand bout de carton disponible? Vous pouvez dessiner des ailes de papillon dessus, les découper et laisser votre enfant les peindre comme il le souhaite. De la forme aux couleurs, c’est un costume que votre enfant pourra décorer totalement. Si vous n’avez pas de carton, ça fonctionne aussi avec du vieux tissu. Vous n’avez qu’à le découper en forme d’ailes et le décorer à votre manière. Pour l’attacher, il suffit de les nouer aux poignets directement ou avec un ruban ou un lacet. De quoi faire éclore un joli papillon de son cocon…

7. Le super-héros

Un bout de tissu assez long pour faire une cape ? Laissez votre enfant sauver le monde! Il suffit de faire deux petits trous sur le dessus et d’y passer un lacet ou un ruban pour qu’elle puisse s’attacher autour du cou s’il est impossible de la nouer. Vous pouvez laisser votre enfant la customiser pour devenir un super-héros hors du commun ou y dessiner les logos de ceux que l’on connait déjà.

8. Le clown

Envie d’un costume du traditionnel clown ? Vous pouvez toujours utiliser de la laine, si vous en avez, et deux rouleaux de papier toilette pour créer des pompons. Une fois créés, vous n’avez qu’à les coudre sur un haut de votre choix. Pour les plus téméraire d’entre vous, on vous a même trouvé le tuto d’un serre-tête de clown. Notez que vous pouvez également transformer ce costume en celui du célèbre Pierrot de la Comedia Dell’arte. Pour cela il suffit de s’en tenir au code couleur : noir et blanc.

On vous a présenté 8 idées de costumes DIY et éco-responsable pour enfant, mais il en existe bien d’autres. Cependant, comme on vous le disait, peu importe l’occasion, faire un costume pour son enfant soi-même, tout en respectant l’environnement, c’est possible!

Article écrit par Loredana Nardello, stagiaire

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Sorties

3 carnavals de Belgique à découvrir

Connue pour sa gastronomie ou sa météo maussade (que l’humour belge fait bien passer), la Belgique est également rythmée par son folklore unique! Chez Mode in Belgium, ça nous tient à cœur de partager des initiatives belges, mais on veut aussi vous faire partager les traditions de notre beau pays. On profite donc de ce mois de février pour vous parler de 3 carnavals belges à ne pas manquer. Pas de jaloux! On vous en a sélectionné 3, mais on n’oublie pas non plus tous les autres carnavals présents en Belgique.

1. L’incontournable carnaval de Binche

Faut-il vraiment le présenter ? Ce carnaval est tellement légendaire qu’il est reconnu par l’UNESCO comme chef-d’œuvre du patrimoine oral et immatériel de l’humanité. Rythmant la région du centre chaque année, juste avant le Carême, le carnaval de Binche réunit les petits et les grands au son des tambours et des sabots de ses emblématiques Gilles.

Une tradition difficile à retracer

Si la tradition se perpétue depuis des centaines d’années, il est pourtant complexe de dater précisément le début du carnaval. De nombreuses légendes ont vu le jour par bouche-à-oreille, dont la plus connue est celle qui attribue l’origine du carnaval aux Incas, venant festoyer dans nos contrées vêtus de costumes colorés. Ceux-ci auraient été appréciés et recréés pour les prochains carnavals organisés dans la cité.

Des personnages emblématiques

Bien entendu, le personnage légendaire et iconique du carnaval est le Gille. Celui-ci est vêtu de son traditionnel costume orné de lions rouge et noir, et porte à la main son ramon et son panier rempli d’oranges sanguines. Cependant, il n’est pas le seul à déambuler dans les rues de Binche. Il est effectivement accompagné de paysans qui, considérés comme les ‘’futurs gilles’’, sont vêtus de manière quasiment similaire, mais moins élaborée que celle des Gilles. A leurs côtés, on trouve également les marins, et deux des personnages de la Comedia Dell’arte : l’arlequin et les Pierrots. Il est aussi important de citer les femmes des Gilles qui les aident à préparer leur costume, ainsi que les musiciens qui les accompagnent tout au long du carnaval.

Un programme chargé

On connaît les traditionnels “jours gras”, les dimanche, lundi et mardi. Cependant, le carnaval de Binche commence déjà 6 semaines avant ces jours-là. En effet, on retrouve les répétitions musicales et ensuite, ce que l’on nomme les “soumonces”. Durant celles-ci, on retrouve les batteurs, pour la soumonce en batterie, et ils rejoignent les cuivres pour la soumonce en musique. Ces soumonces font office de répétitions. Les musiciens sont accompagnés des futurs Gilles et des participants portant un costume issu des années précédentes.

Pour en apprendre plus sur ce carnaval et peut-être même y participer, rendez-vous sur le site officiel.

Le gin de Binche, une fabrication 100% belge !

2. Le Cwarmê de Malmedy

Autre carnaval historique de Belgique, le carnaval de Malmedy, dit “Cwarmê”. Historique, effectivement, puisqu’il est rythmé par des traditions datant du 15ème siècle. Comme le Carnaval de Binche, il se déroule avant la période de Carême. Les termes “jours gras” et “soumonces” pour le carnaval de Binche, sont remplacés par “Grandes haguètes” et “P’titès haguètes”’, pour le Cwarmê. Les premières désignant les jours gras traditionnels et les secondes les 4 jeudis avant le Cwarmê. Durant ceux-ci, on met à l’honneur les enfants et les plus âgés.  

Un programme historique

C’est le samedi que les festivités commencent sérieusement, avec la déambulation des “Grosses Polices” dans les rues, annonçant l’ouverture officielle du carnaval. Ce jour-là, les clés de la ville sont remises au “Trouv’lê” (représentant des masqués) qui aura plein pouvoir durant les 4 jours gras. Le dimanche, quant à lui, est marqué par un énorme cortège qui déambule dans les rues de Malmedy. Il est composé des personnages traditionnels du Cwarmê, mais il accueille aussi toute personne déguisée. Enfin, les festivités se terminent le mardi gras par le “brûlage de la Haguète”, où trône, au milieu d’un bûcher, une haguète en paille à laquelle on met le feu.

Des personnages farfelus

Au total, ce n’est pas moins de 15 personnages traditionnels qui déambulent le dimanche dans le cortège. Parmi ceux-ci, celui le plus emblématique est la ‘’Haguète’’. Comme le Gille, on la reconnaît à sa coiffe faite de plumes d’autruche. Elle tient également un objet dans sa main : le “hape-tchâr” qui lui permet de titiller les spectateurs qui, s’ils sont touchés, doivent alors lui demander pardon (en wallon attention !), un genou au sol. Aux côtés de la Haguète, on retrouve Lu Grosse Police, Lu Trouv’lê, Lu Djoup’sène, Lu Long-Né, Lu Longuès-Brèsses, Lu Long-Ramon, Lu Sâvadje, Lu Sâvadje-Cayèt, Lu Boldjî, Lu Cwapî, Lu Vèheû, Lu Sotê, Lu Hârlikin, ou encore Lu Pièrot.

Un plat emblématique

Si les Gilles lancent leurs oranges sanguines aux participants, au Cwarmê de Malmedy on mange les légendaires gaufres belges, mais pas que. En effet, côté salé, on mange de la salade russe. Celle-ci se compose d’aliments démocratiques et facilement conservables : harengs marinés, betterave rouge, noix et pomme-de-terres, entre autres. Ce choix est délibéré puisqu’il s’agit d’une volonté de la classe populaire d’antan de rendre le plat emblématique démocratique.

Pour en apprendre plus, rendez-vous sur le site officiel.

3. Le Carnaval d’Eupen

Le carnaval d’Eupen fait partie des carnavals dits “rhénan”, c’est-à-dire, prenant place dans les communes germanophones de la province de Liège. Comme pour les précédents, il se déroule avant le Carême, durant les jours gras.

Un programme bien à lui

La saison carnavalesque, dans la communauté germanophone, est ouverte le 11 novembre de chaque année à 11h11 précisément. S’en suivent des “Kappensitzungen”, soirées carnavalesques, où l’on fait le point sur l’année qui vient de passer, au rythme de musiques et de danses traditionnelles. On y retrouve également les “Tanzmariechen”, où des petites filles font de la danse acrobatique, et le “Altweiberdonnerstag”, où les femmes sont au pouvoir. Cependant, c’est durant les jours gras que les festivités battent leur plein. En effet, on y retrouve le point culminant du carnaval d’Eupen, le “Rosenmontag” (lundi des Roses). Durant ce lundi gras, on peut voir déambuler un énorme cortège dans les rues d’Eupen. Il est composé de chars et de milliers de personnes costumées.

Un carnaval thématique

Le carnaval d’Eupen est historique, certes, puisqu’il se déroule depuis 1884. Cependant, il se renouvelle, puisque le thème varie d’une année à l’autre. Les responsables des différents groupes formant le cortège du “Rosenmontag” décident d’un thème qui formera le fil rouge du défilé. Ensuite, chaque formation décline le thème à sa façon.

Les personnages emblématiques

Pas de Gilles ou de Haguètes, mais un Prince Carnaval pour la ville d’Eupen. Le Prince Carnaval est élu pendant les soirées carnavalesques. Celui-ci recevra, avant les jours gras, les clés de la ville de la part des autorités, ce qui lui confère le plein pouvoir pour les jours à venir. Le Prince change donc chaque année et il s’agit, bien entendu, d’une fierté pour celui qui le devient.

4. Les Laetare et les cavalcades

Si l’on vous a présenté les carnavals traditionnels se déroulant avant le Carême. Nous n’oublions pas non plus les autres festivités du pays. En effet, ils ne s’appellent pas carnavals mais ils y ressemblent, ce sont les cavalcades et les Laetare. La différence réside simplement dans la période où se tiennent les festivités.

Les laetare

Elles se déroulent à la mi-carême, quelques semaines après les jours gras de carnavals traditionnels. On les retrouve notamment à Stavelot, Fosses-la-Ville ou encore à Welkenraedt.

Les cavalcades

Elles se déroulent, quant à elles, durant le week-end de Pâques pour fêter la fin de l’hiver. Dans certaines cavalcades comme à Jemappes ou Fleurus, on retrouve le personnage du Gilles. Dans d’autres, comme Herve ou Châtelet, on retrouve des chars décorés de manière colorée tirés par des chevaux.

Saviez-vous qu’il y avait autant de carnavals en Belgique ? Déciderez-vous d’essayer d’attraper l’orange sanguine d’un Gille, de manger de la salade russe avec une Haguète ou de participer au défilé du Rosenmontag d’Eupen ? En tout cas, ce qui est sûr, c’est que, que vous soyez petit ou grand, un carnaval belge vous attend !

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8 idées de déguisements DIY

Article écrit par Loredana Nardello, stagiaire

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Beauté

Nos conseils pour réduire l’impact environnemental de votre routine beauté 

Vous aimez passer du temps dans la salle de bain ? Vous êtes adepte des routines skincare et des nouveautés beauté (à la rédac’, on adore ça) ? Mais vous avez également envie d’adopter un mode de vue éco-responsable (nous aussi) ? Voici nos conseils pour réduire l’impact environnemental de votre routine beauté. 

Faire attention à la composition des produits

La composition des produits cosmétiques est un vrai enjeu lorsqu’on parle d’éco-responsabilité. En effet, les savons, shampoings, crèmes traditionnels sont bien souvent remplis d’une liste interminable de composants … et ceux-ci sont rarement très naturels et même très souvent nocifs pour la peau et pour l’environnement. Un des premiers conseils que l’on peut vous donner pour diminuer l’impact environnemental de votre routine beauté est de faire attention à la composition de vos cosmétiques. On privilégie les ingrédients naturels et organiques, non-testés sur les animaux. 

➡️Nos astuces pour décrypter les étiquettes beauté 

Et n’hésitez pas à jeter un oeil à notre répertoire des marques belges, catégories beauté pour des marques belges et clean 😉

Opter pour des contenants recyclables ou rechargeables

Faire attention à la composition des produits c’est bien, deuxième étape ? Opter pour des contenants recyclables ou rechargeables. En effet, de plus en plus de marques proposent des contenants réutilisables : vous achetez une fois le produit dans son emballage d’origine et vous pouvez ensuite le recharger dans des bornes spécialisées ou acheter une recharge. Cette méthode permet de réduire considérablement les déchets de la salle de bain et est bien souvent plus économique. 

Privilégier les cosmétiques solides

Qu’est-ce qui est encore mieux que les contenants rechargeables ? Les cosmétiques solides. Et oui, ces derniers ont l’avantage d’éviter le plastique. Ils sont plus durables, plus économiques. En les choisissant bio et/ou 100% naturels vous vous assurez également des produits plus sains pour la peau et l’environnement. Un vrai combo gagnant, qui en fait une option idéale pour les consommateurs soucieux d’adopter une routine beauté éco-responsable.

➡️Cosmétiques solides : 3 bonnes raisons de les adopter

savon solide réduire l'impact environnemental routine beauté

Préférer les accessoires zéro déchet

Brosse à dents, cotons-tiges, cotons, rasoir, nombreux sont les accessoires de la salle de bain à avoir un usage unique ou une durée de vie réduite. Heureusement, de nombreuses alternatives existent. Non seulement elles minimisent les déchets, mais elles sont aussi souvent plus saines pour la peau et le corps car elles sont fabriquées à partir de matériaux naturels et biodégradables. 

➡️8 alternatives zéro déchet pour la salle de bain

Adopter des produits multi usages comme les huiles végétales

Dans la salle de bain, on peut rapidement se retrouver avec des dizaines et des dizaines de cosmétiques différents. Et qu’on se le dise, on se fait parfois avoir par le marketing (oups). Certains produits comme les huiles végétales sont multi-usages : masque pour les cheveux, pour le corps, pour le visage. L’idée ? Simplifier sa routine beauté, choisir moins de produits mais de meilleure qualité. 

huile végétale

Etre attentif à sa consommation d’eau

Pour une routine beauté vraiment éco-responsable, il est important de faire attention à sa consommation d’eau. L’eau est un bien précieux et sa consommation peut avoir un impact significatif sur la planète. Utiliser des produits à faible consommation d’eau, réduire la durée de la douche, et se laver les cheveux moins souvent, ne pas laisser couler l’eau pendant le brossage de dents sont des façons simples de réduire sa consommation d’eau. 

Utiliser des produits naturels, recycler les emballages, opter pour le zéro déchet et choisir des marques engagées sont des petits gestes simples qui peuvent faire une grande différence et réduire l’impact environnement de votre routine beauté. 

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Lifestyle

10 essentiels pour une cuisine zéro déchet

Il y a peu, on vous parlait de nos essentiels pour une salle de bain totalement zéro déchet. Aujourd’hui, Mode in Belgium vous présente les 10 essentiels à avoir pour une cuisine éco-responsable et totalement respectueuse de l’environnement. Parce que cuisiner soi-même avec des légumes de saison, c’est bien mais avec des ustensiles écologiques et réutilisables, c’est mieux !

8 alternatives zéro déchet pour la salle de bain

Côté vaisselle

L’éponge lavable et la brosse en bois

On commence avec les indispensables pour faire la vaisselle : l’éponge réutilisable et la brosse en bois. Et oui… Vous ne le savez peut-être pas, mais en plus de son usure facile, l’éponge classique est composée de mousse de résine qui est un dérivé du pétrole. De plus, lorsque vous l’utilisez, elle libère des microplastiques dans l’eau de vaisselle qui terminent leur course dans les cours d’eau et finissent par les polluer. Pour une solution plus éco-friendly, il existe l’éponge lavable en coton bio et/ou toile de jute. A côté d’elle, pour un évier totalement éco-responsable, il suffit de troquer votre brosse en plastique dont la création et la composition est tout sauf écologique, contre une brosse en bois.

Le liquide vaisselle homemade ou solide

Fini les produits nettoyants mauvais pour la peau et l’environnement, dans des contenants en plastique à jeter. Il existe bien d’autres alternatives. Un simple savon de Marseille permet de respecter votre peau et de dégraisser vos plats. Vous pouvez également faire votre liquide vaisselle vous-même, si vous le souhaitez. Il existe de nombreuses recettes faciles qui vous permettront d’être sûrs.es de ce qu’il contient. Si vous êtes plutôt adepte du lave-vaisselle et que vous souhaitez un produit nettoyant belge, on vous conseille le produit de Yokuu !

Ici, une recette liquide vaisselle maison.

YOKUU : les produits de nettoyage aux probiotiques, bons pour votre santé et la planète

Côté conservation

Le bee-wrap

On ne vous le présente plus, le bee-wrap est devenu un incontournable de la cuisine éco-friendly. Ce bout de tissu recouvert de cire d’abeille est lavable et donc réutilisable. La version simple carré de tissu vous permet d’emballer des aliments et de les transporter, mais il existe également des versions plus élaborées pour recouvrir les plats contenant vos restes alimentaires et les conserver au réfrigérateur.

Simonette à bicyclette : les emballages tendances et colorés pour une cuisine zéro déchet

Les sacs en tissus

Si vous préférez, vous pouvez également opter pour des sacs en tissu, de préférence en coton bio ou en lin, qui vous permettent de conserver les aliments dans des contenants naturels et réutilisables. Il en existe pour tous les usages : sac à pain, à légumes, ou encore pour aliments secs, comme les flocons d’avoine ou le riz. Il suffit de les remplir avec les aliments vendus en vrac directement au magasin pour éviter les emballages plastiques. 

Les bocaux en verre ou les contenants en bois

Considérés comme tendance, les bocaux en verre ne sont souvent utilisés que pour leur esthétique. Cependant, au-delà de la tendance, ils permettent une réduction des déchets et une cuisine plus écologique. Vous pouvez vous rendre dans des magasins de ventes en vrac pour les remplir, ce qui permet de réduire les déchets dus aux emballages. Si vous ne souhaitez pas en acheter, on vous conseille de récupérer les bocaux de confiture, moutarde ou cornichons. L’upcycling, ce n’est pas que pour les vêtements ! Une autre solution respectueuse de l’environnement, ce sont les boîtes en bois qui se trouvent facilement en magasin. Préférez toujours des matières naturelles comme le liège ou le bambou, par exemple.

5 objets du quotidien à ne plus jeter

étagères bocaux en verre cuisine zéro déchet

Côté “objets à usage unique”

L’essuie-tout lavable

L’essuie-tout est l’objet éphémère de la cuisine par excellence, une utilisation et direction la poubelle. Quelle est la solution ? L’essuie-tout réutilisable ! Il en existe différents formats. Le premier est le rouleau classique fabriqué en fibre de bambou, dont les feuilles sont lavables après utilisation. Le second est un carré de tissu en coton bio (préférablement), lavable, composé d’une face en tissu éponge et d’une face en tissu lisse afin de garantir tous types d’utilisation.

Les capsules à café réutilisables

Si vous aimez vous offrir une pause-café, vous savez que les dosettes sont à usage unique : aussitôt utilisées, aussitôt jetées. Pour une économie d’argent et une réduction des déchets dans votre poubelle, la solution est simple : la capsule réutilisable. Elle se place dans votre machine et il suffit de la remplir à chaque utilisation avec du café acheté en vrac. Il en existe de différents formats, adaptés pour chaque modèle de machine et elle est lavable, bien entendu. Vous n’avez donc plus aucune excuse pour ne pas tester le café de Torrefactory !

La pause café, un moment privilégié avec Torrefactory

capsule à café réutilisable cuisine zéro déchet

Les filtres à café réutilisables

Autre élément à usage unique : le filtre à café pour les adeptes du percolateur. Comme pour les dosettes, il en existe des alternatives écologiques, fabriquées en lin, en coton bio ou encore en inox. Ces filtres sont lavables et réutilisables pour chaque utilisation. Pas de panique, ils sont trouvables en différents modèles selon votre machine.

La carafe d’eau et le charbon Binchotan

Si vous souhaitez bannir les bouteilles en plastique de votre cuisine et boire l’eau du robinet, il est intéressant d’utiliser un contenant écologique. Pour ce faire, il est préférable de se tourner vers des carafes en verre, en grès ou en argile, matières plus respectueuses de l’environnement et de la santé. Vous n’aimez pas le goût de l’eau du robinet ? Il existe une solution naturelle permettant de la purifier : le charbon actif ou Binchotan. Il se place dans l’eau et permet d’en absorber les impuretés. Il relâche également dans l’eau des minéraux bénéfiques pour la santé. Solution datant du 17ème siècle, elle n’a plus rien à prouver !

Les pailles lavables

Elles font partie de nos repas à l’extérieur, mais elles sont encore peu adoptées dans les maisons, les pailles lavables sont pourtant très pratiques. Si on entend souvent dire que les pailles en cartons deviennent ‘’molles’’ lorsqu’elles sont imbibées de liquide, il en existe d’autres alternatives. On en trouve maintenant en bambou, en verre ou même en inox, à choisir selon votre préférence.

Voici donc les 10 essentiels à adopter pour une cuisine totalement zéro-déchet et éco-responsable. Des alternatives déclinées en différents formats et adaptées à toutes les situations, plus aucune excuse donc, pour passer à une cuisine respectueuse de l’environnement, de votre portefeuille et de votre santé. 

La plupart des alternatives pour une cuisine zéro déchet mentionnées ci-dessus sont disponibles sur la plupart des e-shops belges éco-responsables comme Kazidomi (profitez de 20€ de réduction sur l’abonnement annuel avec le code de Marine “HAPPYISCHIC20”) 

Article écrit par Loredana Nardello, stagiaire

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Mode

Notre sélection de friperies à Mons

On vous a déjà parlé des friperies bruxelloises et anversoises, on vous parle aujourd’hui des friperies montoises. Si vous passez par la ville de Mons un de ces jours et que vous souhaitez faire du shopping tout en restant éco-friendly, c’est tout à fait possible ! Mode in Belgium vous présente 5 friperies à Mons.

Notre sélection de friperies à Anvers

Notre sélection de friperies à Bruxelles

Carnaby Street

Au-delà d’une simple friperie, Carnaby Street est un magasin de vêtements de seconde main engagé durablement. En effet, peu le savent, mais l’enseigne fait partie de l’ASBL Terre qui lutte pour un monde démocratique et solidaire, mais aussi pour une consommation durable et éco-responsable. Pour ce faire, elle a mis en place des magasins de seconde main présents partout en Belgique. L’objectif étant d’en démocratiser l’accès. Carnaby Street, magasin établi depuis plusieurs années dans la cité du Doudou, est un des pionniers de la seconde main à Mons. On y retrouve des vêtements pour hommes et pour femmes tout droit sortis des années 40 à 80. Comme son nom l’indique, le magasin vous plonge dans l’ambiance de Carnaby Street, la célèbre rue londonienne. Pour s’imprégner de leur atmosphère atypique, rendez-vous à la Rue de la Coupe 54 à Mons. Le magasin est ouvert du lundi au samedi de 10h à 17h45. 

Yneska

Yneska c’est l’histoire d’une indépendante, Ynes Kamouche, qui décide de lancer son magasin de seconde main en 2019. Les pièces qu’on y retrouve sont issues des années 1970 à 1990 et s’adressent aussi bien aux femmes qu’aux hommes. A côté de pièces uniques, on peut aussi y trouver des pièces de marques indémodables. Deux étages de vêtements de seconde main et une patronne qui vous accueille chaleureusement en ne manquant pas de vous renseigner et vous conseiller, on ne peut que valider. Si vous souhaitez aller chiner chez Yneska c’est au 30, rue des fripiers (quoi de mieux pour une friperie? *rires*) à Mons que ça se passe. Le magasin est ouvert du mardi au samedi de 10h à 18h.

Le Rendez-Vous Vintage

C’est en 2019 que Manon Hache décide de créer le Rendez-Vous Vintage. Le concept ? Deux fois par mois, elle propose une sélection d’articles qu’elle a chinés. Des vêtements de marques de luxe aux vêtements sans marque tout simplement, on y trouve de tout. Le petit plus ? On paie ses achats au prix fixe de 15€/kg. Un magasin éphémère donc et dont on attend chaque évènement avec impatience. Avant chaque ouverture, elle propose un aperçu de la sélection qu’on va pouvoir chiner le week-end, ce qui rend le shopping encore plus unique. Une singularité qui se renforce par une ambiance distincte puisque le vintage du nom se retrouve également dans la déco du shop. Manon Hache vous donne rendez-vous au 5, Rue du bois brûlé à Ghlin, deux fois par mois. Attention de vérifier la date des events avant de vous y rendre. Le lieu est un peu excentré du centre de Mons mais, on l’a testé pour vous et le déplacement et l’attente en valent le coup ! 

Hot Socks

Fraîchement installée en décembre 2022, Hot socks est déjà très populaire dans la cité du Doudou. Sa particularité ? Une ambiance rétro qui nous renvoie directement dans les années 70. Mathilde, la gérante, propose des vêtements de seconde main pour femmes et pour hommes, mais elle offre également, sur demande, une customisation de vos vêtements, voire de l’upcycling pour vos vêtements abîmés. Plus qu’une simple friperie donc, un véritable service complet pour lutter contre la fast-fashion. Si vous souhaitez donner une deuxième vie aux vêtements qui dorment dans vos placards grâce à ses doigts de fées, elle vous attend au 13, Rue des fripiers à Mons. L’enseigne est ouverte du lundi au jeudi de 10h à 19h30 et du vendredi au samedi de 10h à 19h.

Les Petits Riens

Créés en 1937 et maintenant présents dans toute la Wallonie, les Petits Rien n’ont plus rien à prouver ! S’il on retrouve plus souvent des magasins proposant des vêtements, il est également possible de trouver des magasins proposant d’autres choses. Des vêtements et accessoires pour enfants, des jouets, des livres, des objets de mercerie, des meubles, de l’électronique ou encore des objets informatiques font également partie de leur proposition. Leur singularité réside dans leur valeurs, puisqu’il s’agit d’une ASBL qui lutte pour l’économie sociale. Ça veut dire quoi ça ? Que leurs bénéfices sont totalement reversés aux services sociaux du pays. Bien que vous puissiez retrouver leur enseigne dans 27 points wallons, il est aussi intéressant de souligner qu’ils sont maintenant implantés en plein milieu du piétonnier montois. Si vous souhaitez vous y rendre, c’est au 15 de la Grand-Rue à Mons que ça se passe. Le magasin est ouvert du lundi au jeudi de 10h à 18h30 et du vendredi au samedi de 10h à 19h.

Il aura fallu du temps, mais on retrouve finalement de nombreuses friperies à Mons, de quoi faire une après-midi shopping, mais toujours de manière responsable et durable !

Article écrit par Loredana Nardello, stagiaire

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Lifestyle

Consommer belge ça veut dire quoi ? 

Consommer local est bon pour l’environnement et l’économie. Certains considèrent que faire le choix d’un mode de consommation plus durable est aussi un acte politique, une manière de participer au changement du monde. Mais ça veut dire quoi consommer belge ? Une consommation 100% belge n’est actuellement pas possible mais peut-on y tendre et comment faire au mieux à son échelle ? 

Made in …, qu’est-ce que ça signifie ?

Le made in n’est pas un label, il s’agit d’une déclaration – non obligatoire – de la part des marques qui définit l’origine du pays où a eu lieu la dernière transformation majeure du produit. Attention donc à l’ utilisation abusive de cette appellation. A la mode du greenwashing, certaines marques n’hésitent pas à jouer sur le made in pour vendre plus et coller aux valeurs attendues du consommateur sans véritablement agir dans ce sens. 

Artisanat Certifié

Si le made in n’est pas une reconnaissance officielle de l’origine d’un produit, nous avons en Belgique le titre de “artisanat certifié”, un logo qui certifie (par le SPF Economie) la fabrication manuelle et artisanale en Belgique. 

Découvrez notre guide des labels alimentaires

artisanat certifié belgique
Artisanat Certifié ©SPF Economie

Un point clé : la transparence des marques

Une chose est sûre : consommer du 100% belge dans tous les domaines de la vie est impossible. Et oui, malheureusement nous n’avons pas dans notre pays toutes les ressources nécessaires en matières premières ni main d’œuvre ni savoir-faire. Il est donc normal pour les marques (on parle ici principalement de mode, beauté, bijoux) de travailler avec des fournisseurs et ateliers qui ne sont pas en Belgique. 

Certaines d’entre elles font le choix de travailler à l’échelle de l’Europe et d’autres avec des ateliers partout dans le monde reconnu pour leur technique.

Selon nous, ce n’est pas un problème à partir du moment où il y a de la transparence. Et si vous ne trouvez pas d’informations, si vous avez une question, un doute … interrogez le créateur / producteur. Consommer local, c’est également la possibilité d’avoir un contact (presque) direct avec les humains derrière le produit. 

définition transparence marques éthiques

Focus sur l’alimentation : oui aux commerces de proximité

Du côté alimentaire, il est plus facile de consommer belge et de faire vivre les commerces de proximité. Fruits et légumes, fromages, élevage, …regardez autour de chez vous, vous trouverez sûrement un producteur local qui propose de bons produits frais. Et en décidant de manger local, on essaye également de respecter les saisons. Que du bon ! 

Et pour les denrées un peu plus exotiques, essayez de viser l’échelle européenne si c’est possible.  

Nos articles sur le sujet : 

Comment réduire l’impact de notre alimentation sur l’environnement

Février sans supermarché : l’occasion de repenser sa consommation

Focus sur la mode (beauté, lifestyle, accessoires) : oui aux marques engagées

De nombreuses marques belges sont donc dites belges car c’est chez nous qu’elles sont imaginées et commercialisées mais une partie de la fabrication ou la provenance des matières est étrangère. De nouveau, à nos yeux, à partir du moment où la marque est transparente, cela ne pose pas de problème. Les marques locales ont généralement tendance à favoriser un artisanat à l’échelle humaine et de faire vivre des ateliers décents. En achetant un vêtement ou un produit de beauté belge, vous encouragez l’économie locale et faites vivre un entrepreneur.e de notre pays. Si ce dernier travaille de manière respectueuse avec des partenaires (matières, conception, etc.) vous soutenez aussi un savoir-faire et un partage des ressources équitables. 

Consommer belge c’est avant tout encourager les initiatives de notre pays, faire vivre les commerces de proximité et les marques engagées. Mode in Belgium se donne d’ailleurs la mission de mettre sa pierre à l’édifice pour encourager et mettre en lumière des concepts belges. En faisant un tour dans notre répertoire des marques belges, vous trouverez des marques et concepts nés en Belgique aux jolies valeurs. 

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Food

5 conseils pour inclure l’éco-responsabilité dans les repas des enfants

Transposer ses valeurs écoresponsables aux repas pour nos enfants et bébés ? On peut être amené à trouver ça compliqué… Comment résister aux appels incessants des produits industriels faciles à glisser dans le cartable des enfants le matin ? Comment adopter une organisation éco-responsable tout en satisfaisant les besoins de nos bambins ? Mode in Belgium a réuni cinq conseils pour concilier l’éco-responsabilité et les repas des enfants. 

Troquer les bouteilles en plastiques contre les gourdes

Au revoir les jus de fruits en briques cartonnées, les compotes ou les bouteilles d’eau dans des contenants en plastique à usage unique, bonjour les gourdes réutilisables ! Si l’on constate que les adultes troquent de plus en plus leur bouteille d’eau contre une gourde, ce n’est pas toujours un réflexe en ce qui concerne les enfants. Et pourtant, il s’agit d’un geste simple mais qui n’est pas anodin. En plus, pas d’excuse ! De nos jours, on retrouve en plus de nombreux formats : gourde pour l’eau ou le jus de fruit mais également pour la compote. De plus, il existe des designs très variés et avec leurs personnages préférés. Elle sera d’autant plus appréciée si elle est choisie par la menotte de votre enfant, n’hésitez donc pas à lui laisser libre choix lors de l’achat. Attention, cependant, à privilégier les gourde en métal et non en plastique pour un geste totalement écologique.

Supprimer les contenants en plastique

Comment transporter le repas à l’école ou lors d’un pique-nique ? L’aluminium ou le filme alimentaire est révolu. Pour un repas zéro déchet et éco-responsable, on vous conseille de penser à des contenants réutilisables. Il existe de nombreuses alternatives selon le repas : optez pour des contenants en verre ou en matière naturelle pour des restes de la veille ou des repas complets, par exemple, ou pour des bee-wrap si vous préparez des sandwichs. Le bee-wrap kézako ? Il s’agit d’une pièce de tissu recouverte de cire d’abeille permettant de conserver les tartines de manière naturelle. S’il est adéquat pour les repas à emporter, il en existe également pour conserver les aliments au frigo. Comme pour les gourdes, on en trouve avec différents designs, il suffit de trouver celui que votre enfant va préférer. 

Simonette à bicyclette : les emballages tendances et colorés pour une cuisine zéro-déchet

Une rentrée éco-responsable avec Wood’dwich, la boite à sandwich en bois

Remplacer les aliments transformés par du fait maison

Par aliments transformés, on entend les aliments trouvables en grande surface et plus particulièrement ceux nécessaires au petit-déjeuner et au goûter. Non seulement ils ne sont pas toujours bons pour la santé de bébé ou de votre enfant, mais ils sont également peu éco-responsables. En effet, souvent emballés dans du plastique qui ne fait que remplir notre poubelle, on ne peut pas dire qu’ils soient écologiques. De plus, ils sont souvent vendus en lot, ce qui mène à du gaspillage. La solution pour un repas plus éco-responsable ? Le fait maison. Il ne faut pas nécessairement être un chef quatre étoiles pour répondre à cette requête : des aliments bruts tels que les fruits ou les légumes sont tout autant appréciés que des recettes élaborées. Cependant, si vous vous sentez l’âme d’un chef, de nombreuses recettes de gâteaux, céréales ou compotes kids-friendly sont facilement trouvables. En plus de ça, le fait maison permet de partager un moment avec votre enfant en le laissant participer à l’élaboration de la recette, une fierté de manger ce que l’on a cuisiné !

2 enfants qui cuisinent

Adopter la méthode du batch-cooking

Le batch-cooking, c’est quoi ? C’est la préparation des repas à l’avance dans le but de gagner du temps, éviter le gaspillage et économiser de l’argent. Nombreux sont ceux qui le font le dimanche mais chacun son organisation. En planifiant les repas à l’avance, on fait participer les enfants, ils mangent généralement ce qu’ils aiment et on est mieux organisés, mais ce n’est pas tout. Cette méthode permet de n’acheter que ce dont on a besoin et donc de faire moins de gaspillage d’aliments et d’argent… Dans le cas où l’on a quand même une quantité trop importante, il ne faut pas avoir peur de conserver cela au congélateur. En effet, s’il on pense que la congélation enlève les bienfaits des fruits ou des légumes, c’est faux, elle les conserve, au contraire. En tout cas, que ce soit le batch-cooking ou la congélation, c’est testé et approuvé par la team Mode in Belgium ! 

Minimiser ses déchets alimentaires : nos astuces

Pratiquer le batch-cooking avec des aliments en vrac, de saison et issus de circuit-court

Le batch-cooking c’est bien, avec des aliments durables et bio c’est mieux ! En effet, la base de l’éc-responsabilité en cuisine c’est d’utiliser des aliments issus de producteurs locaux et surtout de saison. De plus, les aliments invendus pour imperfections ou les achats rapides pour péremptions sont très intéressants, surtout si l’on pratique le batch-cooking.  Aussitôt achetés, aussitôt cuisinés et donc aucun risque de devoir le jeter. Pour éviter le gaspillage et économiser, après avoir planifié les repas de la semaine, l’achat en vrac est la meilleure solution. On comprend qu’il est plus tentant d’acheter des paquets préparés, mais acheter en vrac, au-delà de l’engagement écoresponsable (suppression des emballages), présente d’autres avantages : favoriser l’essai alimentaire pour bébé, acheter la quantité adéquate, visualiser les aliments pour les enfants, économiser sur le prix (quasiment 6% comparé à l’achat avec emballage – source). 

Dix habitudes à prendre pour diminuer son empreinte écologique

Il est tout à fait possible d’allier éco-responsabilité et repas des enfants ou même des bébés. Si vous adoptez déjà ces gestes dans votre quotidien, il est encore plus simple de le transposer à la vie avec un enfant. Tout est une question de volonté et d’organisation, mais une fois que le plis est pris, impossible de revenir en arrière. De plus, adopter ces comportements pour vos enfants permettra de leur transmettre de jolies valeurs à transmettre eux-mêmes plus tard… Un cercle vertueux ! 

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5 adresses kids friendly en Belgique

Article écrit par Loredana Nardello, stagiaire

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Société

Tournée minérale : 10 raisons d’y participer

Depuis 2017, chaque mois de février a lieu la Tournée Minérale. L’occasion pour les belges de participer à un défi local, sain et qui peut nous apporter beaucoup. En effet, nombreux sont ceux qui voient ce challenge comme trop compliqué, rabat-joie et/ou inutile. Pourtant, la Tournée Minérale est une expérience à laquelle chaque personne qui a l’habitude de boire de l’alcool, même un verre de temps en temps, devrait participer. 

Pas encore convaincu.e ? Laissez-nous vous donner 10 raisons de prendre part au défi de la Tournée Minérale.

1. Ça fait du bien au portefeuille

Généralement c’est un argument qui fait son effet. Renoncer à l’alcool permet de faire des économies. Les cocktails, le vin et même une bonne bière, c’est cher ! Saviez-vous qu’un belge moyen boit pour 462€ d’alcool par an ? Et si ce mois-ci on mettait notre budget alcool dans autre chose qui nous fait plaisir ? Un massage, un restaurant, une place de concert,… 

2. Un gain d'énergie

On ne sait pas vous, mais nous on ne dit pas non pour gagner en énergie à cette période de l’année. Journées courtes, manque de luminosité, hiver qui n’en finit pas… La fatigue est généralement bien présente en février. En participant à la Tournée Minérale vous gagnerez très probablement en énergie. Cela s’explique par le fait que l’assimilation de l’alcool demande beaucoup d’effort à votre corps. En supprimant l’alcool de votre quotidien pendant un mois, vous permettez à votre foie de se reposer et diminuez votre fatigue. 

3. Un sommeil de qualité

Les participants de la Tournée Minérale observent également un sommeil nettement amélioré. Si l’alcool aide peut-être à s’endormir, il rend généralement le sommeil léger et de mauvaise qualité. Ce challenge vous offrira l’occasion de retrouver un sommeil profond et réparateur.

4. Un apport calorique diminué

L’alcool est très calorique. Loin de nous l’idée de diaboliser les calories, nous en avons tous besoin pour faire fonctionner notre organisme. Cependant, il en existe des meilleures que d’autres. En effet, les calories des boissons alcoolisées sont considérées comme “vides” car elles ne contiennent aucun nutriment intéressant pour le corps. La Tournée Minérale peut être l’occasion d’observer les effets que peut avoir l’alcool sur votre métabolisme et éventuellement de perdre un peu de poids. 

5. Une plus belle peau

C’est bien connu, prendre soin de soi à l’intérieur, ça se voit à l’extérieur. La peau est le plus grand organe du corps, et cet organe n’aime pas l’alcool et son effet asséchant. Etant donné que généralement consommer moins d’alcool nous incite à boire plus d’eau, vous constaterez probablement une amélioration de l’éclat de votre peau. 

6. Bousculer ses habitudes et faire des découvertes

En termes de boissons, on a bien souvent nos petites habitudes. Renoncer à l’alcool pendant un mois va généralement nous pousser à repenser tout ça. Par quoi remplacer la petite bière du vendredi après-midi ? Ou ce verre de vin avec un bon repas ?  De nombreuses alternatives sans alcool méritent d’être plus connues. Et, qui sait, vous réaliserez ainsi de belles découvertes. 

2 verres d'eau avec petites fleurs

7. Ciao la gueule de bois

S’il y a bien une chose sur laquelle on peut tou.te.s se mettre d’accord : se réveiller avec la gueule de bois c’est l’horreur. Bonne nouvelle, ça n’arrive pas quand on ne boit pas d’alcool ! Un mois sans la moindre trace de mal de tête, de nausées, ou d’assèchement dus aux verres de la veille, c’est tentant non? 

8. Le joker

Février est votre mois d’anniversaire ? Vous avez un évènement important à fêter ? Pas de problème ! La Tournée Minérale prévoit même un jour joker. Zéro excuse… haha !

9. Une meilleure concentration

Après quelques jours, voire semaines, sans consommation d’alcool, on peut observer une nette amélioration de la concentration, de l’attention et de la mémoire. Encore une bonne raison de participer au défi de la Tournée Minérale.

10. Les chiffres

Et si tous ces arguments n’ont pas su vous convaincre, les chiffres y arriveront peut-être. 

Voici donc quelques données impactantes concernant la consommation d’alcool en Belgique : 

  • La consommation moyenne d’alcool à l’année est de 9,15 L d’alcool pur par habitant.e. 
  • L’usage nocif d’alcool cause environ 10 000 décès/an.
  • L’alcool est la première cause de décès chez les jeunes de 15 à 29 ans. 
  • L’alcool est la deuxième cause de mortalité évitable juste derrière le tabac. 

Finalement, ce qui ressort de l’expérience des participants au challenge l’année dernière : 

  • 34% estiment avoir économisé de l’argent
  • 19% disent  avoir perdu du poids
  • 18% ont mangé plus sainement
  • 18% se sentent mieux dans leur peau
  • 17% ressentent plus d’énergie
  • 82% des participants sont prêts à recommencer cette année

Prêt.e à participer ? Inscrivez-vous et participez au concours en challengeant vos proches. Cette année, une gourde ou un bracelet sont à remporter. Pour participer, 2 possibilités s’offrent à vous : RDV sur leurs réseaux (@tourneemineralebefr) et taguez 5 proches sur la publication du concours ou inscrivez-vous à la newsletter et complétez le formulaire de parrainage.

Un autre défi à réaliser en février: 

Février sans supermarché !

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